Le but de cette recherche est de comprendre le moteur de recherche universel wikipédia. Tout d’abord, le premier mot associé à wikipédia lors d’une recherche sur google est « l’encyclopédie libre ».
Une fois sur le site, apparaissent de nombreuses rubriques. Notamment, le choix de sélection de langues est extrêmement large, mais l’on peut rapidement s’apercevoir que la définition varie d’une langue à l’autre, la plus complète étant la version anglaise. Ceci nous prouve la volonté d’universalité et de partage d’informations accessibles à tous de wikipédia, et explique son classement dans les 50 premiers sites les plus visités.
Ensuite, wikipédia est conçu de manière à faciliter les recherches. En effet, l’origine de son nom hawaïen, »wiki wiki » signifie « vite ». Il existe différentes manières d’exécuter une recherche ce qui permet d’optimiser les résultats et de convenir à tous les utilisateurs possibles. Les portails thématiques recherchent de manière plus large que les recherches ciblées par mots-clés. L’internaute peut également choisi une recherche par lettre alphabétique ou au hasard (grâce au lien « article au hasard).
Le nouveau concept wikipédia fut officiellement lancé par Jimmy Wales et Larry Sanger en 2001. Il consiste à mettre en accès libre une encyclopédie, que tout le monde peut améliorer, et de la « meilleure qualité possible » dans la « langue maternelle » de chacun. Ce moteur de recherche se veut neutre.
Un diagramme présente la part de chaque thème culturel (philosophie, mathématiques, société, culture et arts, etc....).
Il nous montre ainsi l’importance accordée à la culture et aux arts par les utilisateurs et donc à quels sujets ils s’intéressent le plus.
Le principe wikipédia est de pouvoir créer son propre article grâce à des outils simples et pratiques. Chacun peut donc contribuer à l’élargissement des connaissances universelles. Néanmoins, le concept génère de nombreuses critiques. La fiabilité des informations partagées et leur neutralité est remise en question par l’anonymat des contributeurs et l’absence de sources. De plus, wikipédia est soumis à un risque de sabotages et de vandalisme des connaissances à cause de la possibilité de chacun de modifier ou supprimer les articles.
Je pense que ce moteur de recherche a su séduire des millions d’utilisateurs car il est innovant et actuel. Il permet d’accéder gratuitement à toutes (ou presque) les « connaissances connues ».
Sources : 1 www.anthonyharmant.com/69-glossaire-definition-wikipedia.html
2 www.futura-sciences.com/
3 wikipedia
4 wikipedia.org/wiki/wikipedia
Deuxième partie de la recherche :
En visitant Clermont-Ferrand, une ville qui regorge de surprises avec ses monuments en pierre volcanique, je fus interpellée par son tramway roulant sur pneus. Habitant moi-même à Nantes et empruntant le tramway sur rails, j’ai choisi d’effectuer une recherche sur les transports en communs dans les différentes villes et pays du monde. Cette recherche doit également déboucher sur une compréhension du fonctionnement de wikipédia et de ses limites.
Pour commencer, la recherche «transports en communs» m’a premièrement emmenée à des informations sur les différents modes de transports, leurs applications et leurs impacts environnementaux. L’avantage de wikipédia est qu’il permet d’accéder à beaucoup d’hyperliens afin d’élargir la recherche tels que : taxis collectifs, autobus, ballon dirigeable, arrêt sur demande. Par exemple l’hyperlien «transport en commun en site propre» nous renvoie sur une page qui explique qu’il s’agit d’un transport qui emprunte une voie réservée (comme les busways à Nantes), ce qui lui permet d’aller plus vite et de ne pas subir les embouteillages.
Mais le but de le recherche serait plutôt de se rendre compte des différents design de transports en commun (bus et tramways). J’ai donc procédé par villes, admettant que les premiers résultats s’affichant pouvaient être les plus pertinents.
Le style du tramway de Lyon est épuré. Sa couleur blanche et sa ligne élancée suggèrent la légèreté et un faible impact sur l’environnement. Il est également recouvert de point se dégradant ressemblant à des pixels, qui le rende plus actuel.
Au contraire, le métro de paris adopte un design plus rétro, nostalgique qui s’explique par son ancienneté. Il se démarque cependant par ses stations uniques en mosaïque, équipées de sièges design. Je me suis ensuite aperçut par hasard (car wikipédia nous mène souvent à des pages annexes) qu’il en était de même pour le métro de Montréal (Québec). Celui-ci, également ancien, passe par de magnifiques stations comme celle de Namur ou de champs de mars éclairée par une verrière colorée.
Grâce à la recherche « station de métro », j’ai pu accéder à une galerie de photos. J’ai alors découvert une station particulièrement impressionnante : celle de Mustakiliq à Tachkent (Ouzbékistan).
Cette recherche a confirmé mon intérêt pour les transports en communs, soit modernes, qui témoignent du progrès technique de la ville, soit anciens, qui parle de l’histoire de la ville, de son vécu (tags sur le métro parisien).
Sources : Wikipédia
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