Lors de cette séance il nous est demandé un travail particulier d’analyse d’un magazine périodique. J’ai choisi Beaux Arts Magazine parce que je l’ai découvert à travers mes recherches d’atc, c’est donc un magazine nouveau à la différence d’INTRAMUROS par exemple que je feuillette régulièrement.
Pour décrire brièvement ce magazine je peux dire que c’est un mensuel dont le nombre de page varie entre 140 et 210 pages. Il est diffusé dans un format de 22 X 28 cm pour le prix de 6€80. Toutes les couvertures fonctionnent sur le même principe : la photo d’une œuvre d’art, le titre Beaux Arts magazine d’une couleurs de rappel de l’œuvre, des gros titres en fonctions des rubriques le tout imprimé sur du papier glacé en France. Le colophon, près du sommaire, nous indique les encarts publicitaires rajoutés dans le livre (1 encart « moleiro » collé en p27 sur toute la diffusion …). L’OURS nous précise le directeur de publication : Thierry Taittinger, la rédaction et ceux qui ont également participés à ce numéro. Du point de vu du colonage il varie entre deux, trois et quatre en fonction des pages, les gouttières sont de 0,6 cm et les marges de 1,5 cm (en bas, à gauche et à droite) , 4 cm en haut soit un espace de 19 X 22,5 pour l’enpagement.
Au niveau du contenu éditorial Beaux Arts magazine traite de l’art à travers différents domaines : focus design, architecture, cinéma, musique ; mode, livres, culture numérique. Ainsi que l’actualité artistique, les expositions principales du mois partout en France. Tous les articles sont illustrés et imagés par des photos qui prennent parfois même plus de place que le texte. Et bien sur beaucoup de publicité.
Pour commenter ce magazine on peut dire qu’il est assez riche au niveau de son contenu, car en plus d’être fourni ses articles sont écrits par de vrais critiques artistiques et en sont donc de très bonne qualité. Les images quant à elles sont de bonnes qualités et en corrélation avec le texte. Un petit hic en revanche sur la quantité de publicité que l’on rencontre à la lecture du magazine, de plus la qualité du papier utiliser ne fait pas de ce magazine un périodique de grande qualité comme INTRAMUROS par exemple qui utilise, lui, un papier épais et cartonné. Ce magazine n’a donc pas pour cibles les professionnels du monde artistique mais plutôt des personnes en quête de culture artistique.
Jules Gorget
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