samedi 1 mars 2008

L'École de New-York

par Justine Sage

Nous avons abordé en ATC “l’école de New-York” avec Peggie Guggenheim et Jackson Pollock, quels sont les liens entre eux? À partir de quand et pourquoi parle-t-on de “l’école de New-York”? Je vais entreprendre des recherches sur cette période concernant la peinture Américaine, l’abstraction vu par Rothko. En effet certains éléments m’ont échappés, m’empêchant la compréhension globale de ce qui s’est passé à New-York à l’époque.

Je commence mes recherches en allant sur BCDI et je tape très simplement “école de New-York”. Super, un livre est disponible, sa cote : 7.038.DIA. Je pars à sa recherche mais ne le trouve pas, il n’y est plus. Je demande donc à mes camarades si ils ne l’auraient pas emprunté, mais apparemment non. Je décide donc de me plonger directement dans les bouquins d’art et je prends “l’art aux Etats-Unis”. Dans le sommaire je repère : “Américanité et modernisme”, direction p.246.

On me dit que le contexte économique et politique, donc la guerre, a des répercutions sur les aspirations des peintres. Qu’ils veulent couper court à ce qu’ils appellent “la frivolité des querelles de goût”, en réalisant des formes primitives d’expression et en allant à l’essentiel.Puis un peu plus loin, on nomme Barnett Newman, qui lui, revendique ce modèle d’abstraction pour un art qui donne au contraire la première place au sujet. Le sujet c’est ce qu’il explique comme étant le contenu de la peinture, à ne pas confondre avec la représentation d’un motif où d’un objet. Cette peinture Américaine est définie comme de l’expressionisme abstrait.

Plus loin, on parle de Rothko qui dit “nous voulons réaffirmer le plan du tableau. Nous sommes pour les formes plates, parce qu’elles détruisent l’illusion et révèlent la vérité”. Puis nous y voilà, cette conviction est partagé aussi bien par Jakson Pollock, Barnett Newman, Clyfford Still... qui adhèrent à “l’école de New-York”. Nous sommes en 1948 quand l’école est nommé “the subject of the artist”.

Les lignes qui suivent sont un peu moins intéressantes, parce que trop compliqués, évidemment quand on me dit d’une toile qu’ "elle associe des graffitis privés et énigmatiques à une évocation de deux entités archétypales...” je vais voir un peu plus loin dans le texte. Puis on en vient à Jakson Pollock. Il aurait réalisé en 1953 un très grand format, d’ordre mural, suite à la demande de Peggie Guggenheim, nous y voilà !
Elle lui avait en effet demandé une toile pour le hall d’entrée de sa maison, je retiens la phrase : “les grands formats, dont l’impact est à la mesure de leurs intentions,deviendront une caractéristique non seulement de l’oeuvre de Pollock lui-même,mais aussi de la plupart des meilleurs peintres de cette génération”.
On me dit beaucoup de choses ensuite sur l’oeuvre de Pollock, mais nous en avons suffisamment parlé avec Mr Allirol donc je n’en prend pas note.Voilà je maîtrise à présent mieux cette période concernant la peinture Américaine, et surtout ce que peut être l’impressionisme abstrait avec des peintres tels que Pollock, Newman, Rothko...


Source: “l’Art aux Etats-Unis"

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