Des sentiments intimes, des sensations nouvelles, ce sont des choses qui marquent nos esprits durant le visionnage du film de Raymond Depardon. « Les années déclics » est en quelques sorte une autobiographie réalisé a travers ses photos, des articles de presse et quelques courts-métrages.
Raymond Depardon est photographe dès son plus jeune âge. Il début par des photos de la ferme familiale, de ses animaux, ses cousins. C’est avec beaucoup d’audace qu’il s’installera a Paris et deviendra photographe.
Son film a été produit avec très peu de moyens et de matériel. Il fait défiler des photos sous un rétroprojecteur et une caméra filme son visage. Depardon parle à la caméra comme il se confierai a un ami, ou a un journal intime. Le film est tourné sans artifices, lui-même nous donne peu d’expression dans la voix, le ton de celle-ci nous questionne, nous berce puis nous emporte.
A travers les voyages, les guerres c’est sa propres souffrances que l’ont voit a travers ses photos. Ce chasseur d’image exprime clairement son ennuis a photographié des stars ou les hommes politiques; c’est un sujet photo qui rapporte de l’argent.
La résonnance de sa voix, les photos parfois percutantes nous procurent un vrai sentiment d’attachement pour se photographe. Le spectateur peut d’ailleurs passer de l’inattention à l’angoisse et peut être rire. La raison pour laquel se créé un lien avec Depardon est peut être due a sa façon de nous faire entrer dans sa vie, de nous imprégner de ses nombreux voyages.
Le vrai direct des années déclics était de toute évidence une nouveauté de l’époque.
le 21 novembre
marine pontoizeau
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