octobre 2007
par Anaïs Chanon
Le cri du peuple
En 1870, les parisiens en ont assez ! Ils décident de s’insurger contre le gouvernement royaliste dirigé par Thiers. Cela ouvrira sur une période révolutionnaire de deux mois qui se traduira par une organisation ouvrière : la commune. Leur but est de supprimer la toute puissance de l’état. L’aventure des communards se terminera dans le sang, écrasée par Thiers et les versaillais.
Et l’art dans tout cela ?
A mouvement politique révolutionnaire, mouvement artistique révolutionnaire. En effet, 400 artistes se réuniront durant cette période autour de Courbet. Tous ont le même but, faire cesser le diktat du pouvoir sur l’art. En ce sens, ils signeront un manifeste qui prônera la liberté d’expression auquel s’ajoutera un projet de suppression de l’académie qui soumet l’art à des règles strictes.
Pour ces artistes, seul le « vrai » compte. Ils se définiront donc comme des réalistes et puiseront leur inspiration dans la réalité.
On peut citer comme acteurs principaux : Manet, Courbet et Millet.
La commune aura donc insufflé aux artistes une bouffée de liberté qui accentuera leur préoccupation de « l’ art vrai ».
Sources :
L'histoire de l’art, auteurs multiples, édition Hatier, 1995
L’histoire de France pour les nuls, Joseph Julaud, 2004
par Anaïs Chanon
Le cri du peuple
En 1870, les parisiens en ont assez ! Ils décident de s’insurger contre le gouvernement royaliste dirigé par Thiers. Cela ouvrira sur une période révolutionnaire de deux mois qui se traduira par une organisation ouvrière : la commune. Leur but est de supprimer la toute puissance de l’état. L’aventure des communards se terminera dans le sang, écrasée par Thiers et les versaillais.
Et l’art dans tout cela ?
A mouvement politique révolutionnaire, mouvement artistique révolutionnaire. En effet, 400 artistes se réuniront durant cette période autour de Courbet. Tous ont le même but, faire cesser le diktat du pouvoir sur l’art. En ce sens, ils signeront un manifeste qui prônera la liberté d’expression auquel s’ajoutera un projet de suppression de l’académie qui soumet l’art à des règles strictes.
Pour ces artistes, seul le « vrai » compte. Ils se définiront donc comme des réalistes et puiseront leur inspiration dans la réalité.
On peut citer comme acteurs principaux : Manet, Courbet et Millet.
La commune aura donc insufflé aux artistes une bouffée de liberté qui accentuera leur préoccupation de « l’ art vrai ».
Sources :
L'histoire de l’art, auteurs multiples, édition Hatier, 1995
L’histoire de France pour les nuls, Joseph Julaud, 2004
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