Les oeuvres de Théo mercier sont hallucinogènes, drôles et ne ressemblent à rien de connu. Dans son atelier, il prépare déjà sa prochaine exposition, " Le musée des arts seconds ".
Son atelier s'appelle " Byzance ", sous ce nom étrange se cache un foisonnement incroyable de sculptures qui semblent sortie d'un trip. Né en 1984 à Paris, ce jeune artiste mystérieux semble avoir adopté comme méthode de vie l'ironie, l'idiotie et l'incongru. A tous les niveaux, Théo Mercier est un ovni sur la scène artistique internationale et surtout française. On appelle ça l'art second parce que ses sculptures, qu'on les aime ou qu'on les déteste, ne ressemble esthétiquement à rien de connu. Il est presque impossible de décrire ce mix de couleurs, de formes, de styles qui ne vont pas ensemble et qui pourtant forment un tout. Ses sculptures donnent du plaisir, font rire alors qu'elles sont "sales", au sens où elles mettent en scène la mort, le sexe, la violence, la tristesse ... ( Réf : La Dingue, 2011). C'est une sorte de petit-fils des Dadas. Il travaille essentiellement avec la mort en utilisant des squelettes : " c'est une mort rieuse, insolente, lumineuse. Une sorte de copine un peu bizarre " ( Le Pétrifié, Mambô miam miam, Nafissatou serpillère ). Il utilise le ton humoristique pour détourner les objets, leur donner un nom farfelu. Des têtes de mort, quelque cercueils, des fesses, une foison de choses sales mariée à une floraison de fruits, de végétation et de rire. Le mieux est de se rendre sur son site internet et de découvrir son univers déjanté par vous-même.
Son atelier s'appelle " Byzance ", sous ce nom étrange se cache un foisonnement incroyable de sculptures qui semblent sortie d'un trip. Né en 1984 à Paris, ce jeune artiste mystérieux semble avoir adopté comme méthode de vie l'ironie, l'idiotie et l'incongru. A tous les niveaux, Théo Mercier est un ovni sur la scène artistique internationale et surtout française. On appelle ça l'art second parce que ses sculptures, qu'on les aime ou qu'on les déteste, ne ressemble esthétiquement à rien de connu. Il est presque impossible de décrire ce mix de couleurs, de formes, de styles qui ne vont pas ensemble et qui pourtant forment un tout. Ses sculptures donnent du plaisir, font rire alors qu'elles sont "sales", au sens où elles mettent en scène la mort, le sexe, la violence, la tristesse ... ( Réf : La Dingue, 2011). C'est une sorte de petit-fils des Dadas. Il travaille essentiellement avec la mort en utilisant des squelettes : " c'est une mort rieuse, insolente, lumineuse. Une sorte de copine un peu bizarre " ( Le Pétrifié, Mambô miam miam, Nafissatou serpillère ). Il utilise le ton humoristique pour détourner les objets, leur donner un nom farfelu. Des têtes de mort, quelque cercueils, des fesses, une foison de choses sales mariée à une floraison de fruits, de végétation et de rire. Le mieux est de se rendre sur son site internet et de découvrir son univers déjanté par vous-même.
http://theomercier.free.fr/