Suite à l’intervention de Stéphanie Fuentès, photographe je voudrais observer l’évolution du portrait photographique à travers les siècles.
Je choisit d’aborder ma recherche d’une façon général grâce à l’abcdaire de la photographie. Je découvre que le portrait est le domaine de prédilection de la photographie pour des raisons sociales et économiques. Je me rend compte que l’évolution du portrait prends deux voies différentes:
.le travail en studio
.la presse magazine (mode,…)
La presse people est une presse prospère ou les portraits s’accumulent. Ceux-ci sont faits par des paparazzi qui souvent ont un point de vue caché, les personnes photographiés ne s’y attendent pas. Ces portraits sont pris sur le vif avec une lumière qui n’est pas étudiée. Le cadrage est souvent retouché par la suite.
« Un portrait est une photo de quelqu’un qui sait qu’il est photographié et ce qu’il fait de cette connaissance est déjà une part de la photographie »
Richard Averdon était surement un photographe plus proche du travail de Nadar. Celui-ci travaillait surtout sur un portrait plus industriel, selon un académisme, les décors utilisés étaient souvent conventionnels.
Un travail différents de photographie mais qui se déroule en studio est la photographie de mode.
Les femmes posent dans des décors du studio souvent dépouillés avec des lumières très travaillées et des détailles de mise en scène.
Irving Pen par exemple avait un angle aigu fait de deux parois ou il coinçait ses sujets pour les faire réagir.
Dans les studios, les célébrités posaient devant un fond blanc mais richard Avedon refusait de faire grâce des défauts anatomiques ou des aspérités de la peaux.
Ce sont deux façon de voir le portrait photographique mais dans les deux cas:
« On exige de l’artiste photographe, et ce doit être son but, qu’il atteigne dans le portrait le meilleur caractère possible et le plus belle expression dont visage et personnes ont jamais été capable ».
Albert Sand Southworth
Sources:
.l’abcdaire de la photographie FLAMMARION
.une histoire mondiale de la photographie Naomi Rosenblum
.histoire de voir, de l’instant à l’imaginaire (1930-1970) photo poche
février 2007
pontoizeau marine
Je choisit d’aborder ma recherche d’une façon général grâce à l’abcdaire de la photographie. Je découvre que le portrait est le domaine de prédilection de la photographie pour des raisons sociales et économiques. Je me rend compte que l’évolution du portrait prends deux voies différentes:
.le travail en studio
.la presse magazine (mode,…)
La presse people est une presse prospère ou les portraits s’accumulent. Ceux-ci sont faits par des paparazzi qui souvent ont un point de vue caché, les personnes photographiés ne s’y attendent pas. Ces portraits sont pris sur le vif avec une lumière qui n’est pas étudiée. Le cadrage est souvent retouché par la suite.
« Un portrait est une photo de quelqu’un qui sait qu’il est photographié et ce qu’il fait de cette connaissance est déjà une part de la photographie »
Richard Averdon était surement un photographe plus proche du travail de Nadar. Celui-ci travaillait surtout sur un portrait plus industriel, selon un académisme, les décors utilisés étaient souvent conventionnels.
Un travail différents de photographie mais qui se déroule en studio est la photographie de mode.
Les femmes posent dans des décors du studio souvent dépouillés avec des lumières très travaillées et des détailles de mise en scène.
Irving Pen par exemple avait un angle aigu fait de deux parois ou il coinçait ses sujets pour les faire réagir.
Dans les studios, les célébrités posaient devant un fond blanc mais richard Avedon refusait de faire grâce des défauts anatomiques ou des aspérités de la peaux.
Ce sont deux façon de voir le portrait photographique mais dans les deux cas:
« On exige de l’artiste photographe, et ce doit être son but, qu’il atteigne dans le portrait le meilleur caractère possible et le plus belle expression dont visage et personnes ont jamais été capable ».
Albert Sand Southworth
Sources:
.l’abcdaire de la photographie FLAMMARION
.une histoire mondiale de la photographie Naomi Rosenblum
.histoire de voir, de l’instant à l’imaginaire (1930-1970) photo poche
février 2007
pontoizeau marine
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