Compilation des recherches

Depuis des années le pont fait parti du paysage urbain mais il n’a pas toujours été une construction métallique. C’est pourquoi il m’a semblé intéressant de savoir comment la révolution industrielle a influencé l'architecture des ponts.

Au début du XIXème siècle d’énorme progrès sont réalisés dans l’énergie du charbon et celle de la vapeur. Cela engendre de nouveaux matériaux : la fonte, le verre, et l’acier. C’est la que débute l’architecture industrielle. Ingénieur et architecte vont s’allier pour  faire naître des édifices durables. Le pont sera un des objets de leur étude. C’est la transition entre les anciennes constructions et les nouveaux ouvrages ou le fonctionnalisme et la durabilité sont privilégiés. Le pont de Coalbrookdale réalisé par TM Pritchard (1777-1779 Royaume Uni) sera le premier pont en fonte du monde. Reconnu comme l’un des ponts les plus remarquables de la révolution industrielle, il influencera de façon importante la conception d’autres ponts et l’utilisation de la fonte dans le bâtiment.

Par ailleurs le fer a un rôle primordiale dans ces changements architecturaux. Dans les années 1800 s’il apparaît dans les constructions c’est surtout en tant que matériel de substitution. Il remplace le bois dans les charpentes des bâtiments exposés aux risques d’incendies. Et si il est utilisé dans la construction des ponts c’est en utilisant un système d’édification calqué sur celui des ouvrages en pierre. En moins d’un siècle le fer s’impose dans l’architecture. Une conquête dont ingénieur et architecte se disputent les fruits, certains n’y voient qu’un matériel pratique car facile à stocker et peu onéreux, d’autre trouve dans son utilisation un moyen de renouveler les formes et techniques de constructions.

« La forme suit la fonction »
Louis Sullivan

Les informations ci-dessus sont tirées de deux ouvrages : « cahier de science et de vie : Gustave Eiffel et la révolution industrielle » ainsi que « Histoire de l’architecture moderne ».

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Au fil des siècles, les ponts ont toujours été les vecteurs du progrès de l'humanité. Ils évoluent dans leurs formes, des formes arquées, droites, hélicoïdaux...ou bien dans leurs matériaux, le bois, la pierre, le béton, le fer, l'acier... Mais ils ont aussi connu une évolution sur leurs fonctions. Le tout premier pont a été construit avec des rondins et des cordes, il servait pour de simple passage d'humain, pareil pour les premiers ponts en pierre. Puis est venu la maçonnerie qui a permit la construction de ponts de route, et vient par la suite le fer, pour la construction de ponts de rails, de viaducs, de ponts de routes, d'aqueducs...
En effet, depuis le simple ponts en bois jusqu'au travées monumentales en béton et acier, une évolution extraordinaire s'est produite : des matériaux aux fonctions, en passant par les formes.

Amandine DELUEN

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Après une étude sur le pont de la Motte Rouge à Nantes, je me suis intéressée à la représentation des ponts dans la peinture.
J'ai pu découvrir un certain nombre de tableaux, notamment dans le magazine TDC 162 des archives du CDI. Il y est répertorié des toiles de différent mouvement comme l'impressionnisme, le pointillisme, le romantisme, l'influence asiatique. C'est donc un thème assez récurrent et que l'on retrouve en tous temps et en tous lieux.
En élargissant ma recherche au thème du paysage en général, j'ai trouvé que cette forme d'art remontait à des siècles auparavant. Au départ, ce n'était que des fresques ou des mosaïques décoratives. A la Renaissance, on observe dans les toiles des fenêtres ouvertes sur l'extérieur; on y voit le paysage. On ne parle véritablement de paysage qu'au 16ème siècle. D'ailleurs le premier peintre officiel de paysage est Joachim Patinin. Cependant, le paysage se développe considérablement qu'à partir du 19ème siècle avec les romantiques, les réalistes, les impressionnistes... Ils montrent tous des manières très différentes d'interpréter des paysages.
Aujourd'hui le paysage est souvent traduit par la photographie. Il montre les changements que lui impose la société. Il y a une réflexion nouvelle sur les Hommes et leur environnement, sur l'espace et le temps.

Références sur le paysage:
- DADA 087
- DADA 163

Clémentine MALIDIN

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En quoi le développement de l'utilisation du fer a-t-il eu une influence sur l'histoire des ponts ?

Même si de tous les matériaux utilisés dans le construction des ponts le fer est celui qui a le moins servi, c'est grâce à lui que l'on a pu obtenir la fonte. En effet, celle-ci est composée de minerais de fer. ON la doit à l'anglais Dud Dudley en 1619. En raison de sa fragilité, on expérimenta le fer puddlé, qui la remplaça à partir de 1783.
Le premier pont en fer fut érigé en 1779 à Coalbrookdale, et fut conçu par Thomas Pritchard.
C'est en 1807 qu’apparaît le premier pont suspendu en fer puddlé : le Pont Chair à Washington.
Après de nombreux accidents liés à la fragilité à force de passage, comme en 1876 aux États-Unis, où 65 personnes ont troué la mort après qu'une poutre soit tombée, c'est au 19e siècle que l'on produisit l'acier.
En conclusion, c'est grâce au fer et à sa fragilité » que nous en sommes venu à créer le matériau qui aujourd'hui compose la grande majorité des ponts : l'acier.

Les Ponts de David Beenett

Julia

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Au départ, je voulais plutôt m'intéresser aux différents usages du pont mais ma recherche s'est développée plus particulièrement sur les différentes structures de pont et leur relation avec l'environnement.
Tout d'abord, j'ai découvert une nouvelle sorte de livre le Moniteur des travaux publics et du bâtiment, c'est un livre très étonnant, on dirait un annuaire. La forme d'un pont est souvent le fruit de réflexions menées par des équipes de conception, regroupant ingénieurs et architectes. La sensibilité au paysage est récente ; pour Marc Mimram, à la fois ingénieur et architecte, la conception d'un pont consiste d'abord à la lecture d'un paysage, en la compréhension d'une situation historique, géographique,... Un pont a une structure destinée, la plupart du temps, à franchir une brèche ; de l'avis général il n'est d'aucune utilité de travailler sur autre chose que la structure. Avec l'amélioration des matériaux (béton hautes performances, colles et résines pour le bois,...) de nouveaux espaces de recherche et de créativité s'ouvrent. En ouvrage d'art le champ d'exploration est encore vaste. Les progrès des moyens techniques permettent aux concepteurs de penser plus librement dans un champ non pas de contraintes mais de plaisirs.
Ensuite, j'ai cherché des exemples afin de montrer les différentes structures que des équipes de conception ont utilisé pour des ponts. L'arc surbaissé du bras de la Plaine en est un exemple : « Tout de suite, nous avons su qu'il ne fallait pas introduire de verticalité dans le paysage » explique l'architecte Alain Amedeo. Pour franchir la brèche de 280 mètres,les concepteurs ont imaginé une structure précontrainte mixte avec hourdies supérieur et inférieur à hautes performances (hourdies : maçonnerie légère). Le pont Térénez, lui est le premier pont courbe à haubans de France. « La forme définitive des pylônes (en forme de lambda) est le fruit d'une intense collaboration avec les ingénieurs travaillant sur le projet », explique l'architecte Charles Lavigne.
Enfin, pendant cette recherche, j'ai remarqué que la gamme de structures est très large. Les ponts à haubans se détachent des autres ouvrages par leur audace technique. Les nombreux ouvrages comme le viaduc de la côtière sur l'autoroute A432 ou le pont Éric Tabarly à Nantes, démontrent la diversité des réponses structurelles possibles, dans un environnement parfois très contraint dans ses dimensions spatiales, temporelles et économiques.

HUGUET Sarah

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Je souhaite savoir pourquoi le Tower Bridge est se célèbre.

La construction du Tower Bridge débuta dans les années 1890. il fut bâtit suite à une demande populaire. De nombreuses pétitions avaient circulé à Londres pour la construction d'un nouveau pont non loin du London Bridge. Ce pont est unique à Londres. Sa mise en service fut décrite comme un « formidable symbole du génie britannique ». En effet, ce pont est une construction remarquable pour l'époque, qui fait preuve d'ingéniosité. Ce pont est à bascule pour permettre le passage des gros bateaux quand il est ouvert. De plus, deux passerelles supérieures furent pensées pour permettre aux piétons de traverser quand le pont est levé. Je pense que c'est cette ingéniosité qui le rend célèbre, ainsi que sa prestance, son côté majestueux. A tel point qu'en 1970, les habitant de Lake Havascu City, en Arizona, achète le London Bridge croyant s'être procurer le Tower Bridge.
Peut-être est-il célèbre grâce à la légende racontant qu'il s'agit d'une partie du palais de Westminster qui se serait détachée et qui aurait flotté sur la Tamise jusqu'à la Tour de Londres avant de s'immobiliser.

Lauriane Mausson

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Je souhaite au cours de ses recherches trouver les ponts ayant des caractéristiques surprenantes et originales dans la forme et l'esthétique.
Au fil des siècles, les hommes ont amélioré les techniques de construction des ponts. Leurs limites et imaginations vont plus loin, ils tentent de plus grandes constructions.
Parmi eux, Le Firth of Forth en Ecosse, est un pont cantilever, dont la travée est constituée de poutres. De même que le pont de Québec. Le pont fut inauguré en 1890. Des générations durant, il détint le record mondial de la plus longue portée. L'ensemble est très impressionnant, aussi par sa couleur et sa grandeur.
Le pont Sunshine Skyway actuel dans la baie de Tampa, pont à haubans, il mesure plus de 360 mètres de long et s'élève jusqu'à  58 mètres au dessus de l'eau. Ce pont fut conçu pour résister aux vents les plus forts sans mettre de coté  une architecture démentielle.
Le Sydney Harbour Bridge dans la ville de Sydney en Australie. Sa structure est très imposante dans le paysage d'un superbe port naturel au cœur de la ville.
Constitué d'une arche principale immense. Le pont mesure 503 mètres de long. Il a été bâti en 1932.
Il existe tant de ponts de plus en plus grand, de plus en plus long et créatif.Je n'en ai choisi que trois.

Romane Poyard

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Les hommes ont tout d'abord recherché des gués naturels pour franchir les cours d'eau, puis ils ont construit des ponts en bois pour enfin dernièrement utiliser le métal. Nous allons aborder, ici, les grands ponts métalliques, les techniques et les différents types de ponts métalliques.
Les premiers ponts métalliques apparurent au début du début du XIXème siècle avec le pont des arts à Paris ; ils furent tout d'abord en fer, puis en fonte puis enfin de nos jours en acier. Le pont métallique connu un essor important grâce au développement du chemin de fer dans la seconde moitié  du XIXème siècle.
Quelques techniques modernes vont améliorer la construction de ce type de ponts comme la soudure qui premièrement est plus économique, elle facilite la construction et simplifie l'entretien et la protection. L'entretien des ponts en acier est très difficile car celui-ci est très sensible à la corrosion, un décapage par sablage est nécessaire, suivi ensuite de 4 à 5 couches spéciales. L'emploi nouveau de boulons facilite quant à lui l'assemblage.
Différents types de ponts métalliques ont été mis en oeuvre part des ingénieurs depuis la création du pont des arts. Les ponts en arc peuvent franchir un cours d'eau, mais pas de plus de 150 mètres, comme son nom l'indique il est formé à partir d'un ou plusieurs arcs comme le viaduc de Garabit construit en 1881 par Gustave Eiffel ou un peu plus recemment le pont du port de Sidney en Australie. Certains ponts eux sont ancrés, de préférence dans un sol rocheux, grâce à des câbles porteurs fixés à chacune des extrémités, le problème de ces ouvrages réside dans leur sensibilité aux vibrations et à l'action du vent, parmis les plus célèbres figurent le pont de Tancarville qui enjambe  la Seine ou encore le Golden Gates à San Francisco qui date de 1937. Les ponts Masséna à Paris et le pont de St-Nazaire St-Brévin qui traverse la Loire sont quant à eux des ponts à Haubans, ceux sont en fait des ponts composés de poutres espacées régulièrement auxquelles se fixent des cables, en formant un triangle  pour soulever la structure du pont.
les ponts mobiles servent à assurer le franchissement d'une voie d'eau, plus particulièrement un canal ou un estuaire. Les ponts transbordeurs, plus utilisés de nos jours, étaient un chariot suspendu à un pont sur lequel était suspendu une nacelle, sur laquelle embarquaient piétons et véhicules mais le débit était trop faible donc incompatible avec la circulation actuelle.
Les ponts levants sont des ponts coupés en deux, chaque parties peut se lever pour laisser passer les embarcations et se rabaissent ensuite pour laisser traverser les voitures, par exemple le pont de Recouvrance à Brest. Le record de la partie levante est aux USA et est de 167 mètres.
Nous remarquons donc que les ponts métalliques sont divers et variés, ceci n'est qu'une grande catégorie, il est également possible de "mixer"  deux sortes différentes de ponts.

Lise Vandini

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Tout d'abord , nous nous demanderons qui est le fameux Jean -Rodolphe Perronet et qu'elles sont ses différentes productions et inventions.
Grand ingénieur et architecte français du 18eme siècle , Jean- Rodolphe Perronet est  né a Suresnes en 1708, et est mort a Paris en 1794 pendant les travaux du pont de la Concorde. Au sortir de l'adolescence, il refuse d'être officier comme son père et se lance dans des études d’ingénieur militaire. Il se tourne ensuite vers des études d'architecte à l'école de Paris où il étudie  la trigonométrie, l'algèbre, l'histoire de l'architecture et la mécanique. Les qualités de dessinateurs étant nécessaire , Jean-Rodolphe Perronet se met à manier la plume d'oie et le crayon . Pendant la premiere moitié du XVIIIsiecle , il est assistant de Hapeau, a près la mort de celui ci, il décide de superviser ses travaux. Cela lui permet de faire de grandes découvertes qui deviennent de grands progrès comme l'invention de l'arc surbaissé, de l'intrados supérieur au niveau des eaux en crue, des piles plus minces ne supportant que des charges centrées , puis la transformation des arches elliptiques à trois voussoirs de ses prédécesseurs en nouvelle arche comme le segment d'un grand cercle. De plus, il fonde son premier pont sur la Seine en amont de Paris, il s'agit d'une arche à une seule travée. Ensuite, il crée le Pont de Neuilly en 1768 , ouvrage en pierre de 37metres de portée qui se comporte de piles de 4 mètres d'épaisseur construit à l'aide de cintres et démoli en 1956. Le pont de Saint-Maxence sur l'Oise, une autre de ses créations, se place à une hauteur de 6metres et possède des colonnes de 3 mètres d'épaisseur, cet ouvrage en pierre est détruit en 1914. Jean Rodolphe Perronet n'imagine pas seulement des ponts , il s'occupe aussi de travaux routiers, du canal de bourgogne , d'une partie de l’Égout de Paris et fonde l’École des ponts et des chaussées en 1747. Néanmoins sa renommée est du à la conception de nombreux ponts dans differentes villes de France et notamment à la construction du pont de la Concorde ( 1787), son plus grand chef d'oeuvre.
Perronet donna ainsi à la france la suprématie européenne en matière d'expertise pour la construction des routes et des ponts , et fut publiquement reconnu comme le premier ingenieur du royaume. On le surnomme «  le père des ponts modernes » .

Références
- dictionnaire des Noms Propres
- Histoire de l'architecture moderne, 1 la revolution industrielle
- Les ponts , histoire et techniques

Justine Lelièvre

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Je vais me concentrer sur la technique du pont tournant,  inventé par Léonard De Vinci ; puis connaître les amélioration de cette invention jusqu'à nos jours.
Léonard de Vinci, a inventé un pont extrêmement ingénieux pour différents points . Tout d'abord, le niveau d'ingénierie de cette création pour cette époque est très importante . Il avait compris que sur les points faibles des stratégies militaires était la facilité pour une armée ennemie de pénétrer sur un territoire protéger par l'eau, en accédant aux différents ponts construits . Alors pour régler ce problème stratégique L. De Vinci mit au point un pont tournant . Par un système ingénieux fait seulement de corde et de bois, permettant à une petite armée de construire rapidement ce type de pont . Donc pour permettre la rotation de ce pontil faut actionner une manivelle qui permet d'enrouler une corde, qui passe par une poulie et tire sur et tire sur le bord du pont sur laquelle elle est attachée . Le pont tournant autour du mât, puis balaie toute la surface de fleuve jusqu'au moment ou l'extrémité du pont se positionne sur la plate-forme placée de l'autre coté de la rive .
La différence avec un pont tournant actuel?
La manœuvre de ces ponts sont réalisés par la rotation du tablier autour de l'axe vertical central . Le pont en cours de rotation est un exemple étonnant d'équilibre . La seul personne présente sur une des extrémités pourrait le déstabiliser.

Raphaël Loriller

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Quelles techniques, issue du modernisme, révolutionnent la structure du pont ?

La révolution industrielle révolutionne le monde moderne notamment grâce à l'apparition de la machine à vapeur de James Watt. Cette invention favorise le développement urbain, bouleverse la répartition géographique et génère donc une forte exode rurale. Cette évolution a marqué un changement conceptuel : en effet, nous sommes passés d'une construction massive et porteuse en pierre réalisée sur commande à de nouveaux ouvrages d'art à l'ossature légère et élégante en fer ou en acier produit en usine. L'ingénierie éclos au XVIIIème siècle invente un type de matériaux révolutionnaire : le fer. L'obtention de la fonte par fusion de minerai de der fut expérimenté pour la première fois en 1619 par l'anglais Dud Dudley. Un siècle plus tôt, Abraham Darby avait mis au point une méthode économique pour obtenir une grande quantité de fer en fusion et réalise le premier pont en fonte du monde : Le pont de Coalbrookdale ( Iron Bridge ) au Royaume Unis en 1777-1779. e plus, de nombreux autres  matériaux sont issus du fer comme l'acier qui a été débarrassé d'une grande quantité de carbone et d'autres impuretés. Cette technique permet, grâce à des poutres en métal et d'autres pièces de créer une structure évidée, allégée et élégante comme le pont de la motte rouge à Nantes ou le pont des arts à Paris.

Léa Jouan

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=> Quelle est l'origine des ponts ? De l'âge de pierre au Moyen-Age.

Les hommes ont imaginé un moyen des franchir les fleuves et ravins pour survivre. C'est alors qu'apparurent les premiers ponts à l'âge du bois et de la pierre.
Au quatrième millénaire, les Sumériens découvrent les secrets de la construction en arc. L'arche en brique de Ctésiphon et la porte d'Ishtar de Babylone en sont une preuve.
Les romains, eux, furent des génies de la construction civile et les premiers véritables ingénieurs. Les ponts en maçonnerie (petites pierres assemblées avec du mortier), de pierre (pierres de grands dimensions assemblées sans mortier), ou de brique furent des inventions romaines. Le pont Julien est l'un des plus beaux ponts romains de France d'après la revue Construction Moderne.
Au Moyen-Age, à partir du sixième siècle, les gens riches s'efforcent d'établir des chemins. Au dixième siècle les chemins pèlerins en direction de Compostelle se dessinent, de plus la construction de nombreux ponts est entreprise sur les anciens tracés des voies romaines. La pont Saint Esprit sur le Rhône est le plus long pont du Moyen-Age avec dix-sept arches.

Références :
Les ponts, histoire et techniques de David Bennett
Revue Construction Moderne exemplaire 10598 de 2002

Romane Maier

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Problématique : Comment la révolution industrielle a t-elle influencé l'architecture ?

Entre la seconde moitié du XIXe siècle et la première décennie du XXe siècle, des techniques et des principes conceptuels de l'architecture métallique se mettent en place.
Les ponts sont un exemple de construction qui illustre l'age d'or du fer. Le fer est un élément chimique de base qui entre dans la composition de la fonte et de l'acier, obtenu par affinage de la fonte. On emploie ces composés de différentes façons, en fonction de leur malléabilité et de leur résistance. Dur et cassante, la fonte est utilisée sous la forme de produits moulés. Cependant, le fer et l'acier sont transformés en demi-produits. Coulés sous la forme de lingots, ils subissent un premier, puis un deuxième laminage qui les transformes en ébauches de produits plats ou de produits longs. On obtient ainsi des produits finis, directement utilisable pour construire un édifice métallique.
Les œuvres de Robert Maillart acquièrent une grande renommée. Pour beaucoup de choses, la figure de Maillart ressemble beaucoup à celle des ingénieurs du XIXe siècle, pionniers du fer et du béton armé. Mais à la différence de tous les autres ingénieurs, ses œuvres ne sont pas seulement techniquement correctes, elles ont un rigueur stylistique absolue, qui va jusqu'aux finissions. Son activité indépendante débute en 1902, il est la foi projeteur et entrepreneur. Réfléchissant à la construction des ponts en béton armé, il observe que les différentes parties constitutives sont habituellement conçus comme des éléments séparés et superposés, reprenant par inertie le raisonnement appliqués au ancien ponts en pierre. Mais puisque la continuité entre les éléments constitue la caractéristique première du béton armé, Maillart prend conscience de l'économie sensible que l'on pourrait faire en considérant l'arche, les liaisons et le tablier comme un système solidaire.

Lorella Piberne

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J'ai d'abord voulu travailler sur l'intégration du pont dans le paysage en m'appuyant sur les signes plastiques. Cependant après avoir trouvé le magazine «connaissances des arts en parlant de l'eau source d'architecture», j'ai pensé qu'en effet l'importance du reflet dans la construction d'un pont ou d'une autre architecture est intéressant.
Le pont doit franchir l'eau tout en se mêlant à l'espace environnant. Je me suis rendue compte que la construction d'un pont ou de toutes autres architectures au bord de l'eau se base sur de nombreuses confrontation. L'eau est liquide alors que l'architecture est solide. Le reflet n'est que mirage alors que la construction est bien réelle...La structure complexe du Webb Bridge à Melbourne (en Australie) construit en 2003, est projeté sur l'eau donnant l'illusion d'un double volume. L'éclairage volontairement dramatique apporte de la profondeur à la tombée de la nuit.
Mais l'on peut se demander qu'est ce qu'un reflet? Le Robert dictionnaire de la langue française le définirait ainsi «lumière réfléchie par un corps accompagné ou non par une sensation de couleur et généralement d'intensité moyenne». Cet effet de miroir peut-être accentué par des feuilles de métal comme dans la construction de Neutlings Riedijks à Huizen où s'aligne cinq bâtiment abritant des logements.
L'eau a également inspiré les architectes notamment par son déplacements d'ondes. Dans «Architecture non standard» on nous présente L'aegis Hypo-Surface situé à Birmingham au États Unis (1999). La construction de ce théâtre a fait l'objet d'un concours où le cahier des charges suggérait fortement que l'œuvre rende compte à l'extérieur de ce qui se passait à l'intérieur. Pour cela on a inventé une surface cinétique et interactive à l'aide de millions de facettes métalliques sur pistons. Au gré des ondes de notre quotidien, des différentes animations du lieu musique, applaudissement, bruits de circulation, la paroi se déforme. Les sons sont captés électroniquement puis retranscrit en mouvement. J'ai trouvé ce concept étonnant par la pluralité des volumes que l'on peut créer.
L'eau n'a pas inspiré que les architectes. En effet Debussy a composé «Reflets dans l'eau » (pièce pour piano du recueil Image), en s'inspirant de cette «matière» fluctuante.

Pennec Anaelle

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Le pont dans la culture Japonaise (…)

Au Japon, à l’époque du Moyen-âge, les ponts étaient construits par des moines. On sait qu’il y avait un lien constant avec la religion, le bouddhisme. Ainsi on fabriquait un pont pour réitérer un rite, ouvrir une voie à un endroit sacré.
A l’époque les ponts Japonais étaient tous fait de bois car en raison des intempéries (séismes, raz de marrée, éruptions volcaniques) sa reconstruction devait être rapide. De plus il devait être facilement démontable pour couper la route à l’ennemi.
Le pont sacré de Shin-Kyo par exemple, fut construit en 1636, entièrement de bois. Il fut édifié à l’emplacement où, raconte t-on, Shodo Shomin (un dieu) traversa la rivière de Daiya sur 2 énormes serpents. Avant le pont dit  « sacré » n’était autorisé qu’à l’empereur et à ses messagers.
Plus tard la pierre apparaît dans les constructions… Le pont Kintai Kyo est un superbe exemple d’architecture de pont en pierre. Il est formé de 3 voûtes en bois sur 5 arches en pierre. A la base il fut construit au 18émé siècle pour que les samouraïs puissent traverser la rivière Nishiki, aujourd’hui devenu lieu touristique.
On compte aussi le pont Kitionsashi, construit au 17ème siècle entièrement de pierre. Il est l’origine des 5 routes majeures du Japon. Depuis les Japonais l’ont intégré dans un quartier d’affaire tout à fait moderne.
Avec l’industrialisation, le Japon a vu ses premiers ponts d’acier naître… Tel que le pont Akashi Kaikyo, le pont de 3.9 kilomètres, à ce jour le plus long du monde. Il fut construit en 1998 (commencé en 1988) pour relier l’île d’Awajïa à Kobe. Il est la preuve de l’évolution du Japon en matière de technique.

Sources internet :
- site timbrespont d’après les écrits de J.P Giraud
- site Mackoo (pont Shin Kyo)
- site Nippongo (pont en pierre)
- site de wikipédia / l’internaute (pont Akashi Kaikyo)

Justine M.

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Dans un premier temps, je voulais m’intéresser aux différents pictogrammes découlant de divers ponts et à leurs domaines d’utilisations. Cependant les informations mises à ma disposition sur ce thème dans la documentation du CDI étaient inexistantes. Sur Internet, on trouve en effet que le pictogramme est une représentation graphique et schématique , un dessin figuratif ayant une fonction. Quant au pictogramme du pont en lui-même il est utilisé dans des cartes touristiques, pour permettre au gens de se repérer, dans des panneaux de signalisations : «  pont mobile », ou encore comme logos de certaines villes dans lesquelles un pont a une importance particulière.
Pour répondre à la demande qui m’a été posée je vais donc m’intéresser à la symbolique même du pont dans les différentes cultures de ce Monde.
Un pont est ce qui permet de franchir un obstacle, de faire communiquer. Construction ou ouvrage reliant deux points séparés ou par une dépression ou un obstacle. Le pont est un élément qui dans sa symbolique, possède un grand sens moral, dans divers rituels et qui est très présent dans l’histoire et la religion. Il permet de passer d’une rive à l’autre, lien entre ciel et terre, passage de l’état humain à celui de supra humain, de l’être à l’état de plus élevé, de la contigence à l’immortalité. Le pont est présent dans différentes légendes d’Europe oriental. En effet, le passage du pont ( pont KOVIAO) est une étape d’initiation dans certaines sociétés secrètes chinoises.  C’est également un liens antre Nord et Sud, Ying et Yang. Dans la religion occidentale le titre de Pontifex « Constructeur de pont » est attribué au pape, qui est donc constructeur de pont lui-même. Il tient également le rôle de médiateur antre ciel et terre. Cet édifice est un lieu de passage vers le monde des dieux lors duquel se produit un phénomène de purification. Chez les gallois il est dit que «  quiconque est chef est pont ». Dans l’Islam, la traversé du pont ou «  Sirât » permet d’accéder au Paradis en passant au dessus de l’Enfer. Le pont présente donc majoritairement le symbolisme du passage, possédant le  plus souvent une dimension périlleuse et un caractère  morale et religieux.
Il pourrait pour la suite, être intéressant de voir si tout comme le pont d’autres éléments ou constructions tiennent un rôle aussi important dans la culture et les mœurs.

Mes sources :
- pour les pictogramme : Google images
- dictionnaire des symboles de jean chevalier et Alain CHEERBRANT édition Robert LAFFOUT/Jupiter .

Flavie Gaborit

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Quelle est l'évolution du pont dans l'histoire du design à partir du 19ème siècle ?

Le principe du pont a déjà été révolutionné avec l'invention de la sidérurgie.
Cependant, le pont connaît une seconde révolution avec l'apparition du ciment et une meilleure maîtrise de la sidérurgie. Le ciment a révolutionné la construction du pont qui était restée inchangée depuis les Romains. Ainsi, il apparaît un nouveau mode de réalisation expérimenté par Louis Vicat et part conséquent, la structure et la forme des ponts changent ; comme on peut le voir entre le pont de la Motte Rouge à Nantes (1884) avec le pont de Châtellerault sur Vienne (1900).
Sous le Second Empire, les ponts se destinent aussi à la circulation ferroviaire. C'est le grand essor du chemin de fer. Puis au début du 20ème siècle, la construction par « rouleau » fut adoptée par les bâtisseurs du pont ; comme les ponts des Catalans à Toulouse. Apparaît ensuite le béton armé. Les matériaux sont donc plus résistant ; comme le pont de Tenniens (1922) conçu en béton armé. On voit ainsi les ponts suspendus se répandre grâce aux frères Seguin qui construisent une centaines de ponts suspendus en France à partir de 1825. Apparaît, en même temps que ces ponts suspendus, le principe de haubanage. Mais les catastrophes d'Angers (1850) et de la Roche-Bernard (1852) stoppent ces réalisations qui réapparaissent après 1890.
A partir de la Première Guerre Mondiale et cela jusqu'en 1960, il ne sera question que de destruction, rénovation, reconstruction des ponts. A partir des années 1960, les ponts à haubans, qui sont entièrement construit avec le principe de haubanage, se généralisent ; comme on peut le voir avec le pont sur le Rhône (1999).
Enfin avec l'amélioration de toutes ces techniques, on peut se permettre à partir de 2000, d’innover sur la forme ; comme on le voit avec les ponts suivants :
- Webb Bridge à Melbourne en Australie (2003)
- Gateshead Millenium Bridge à Gateshead en Grande-Bretagne (2004) (pont amovible)
- Ybbs Bridge à Amstetten en Autriche (2007)
- Skywalk Grand Canyon West au Grabd Canyon en Amérique (2007)
- River Hull Footbridge à River Hull en Grande-Bretagne (2010)

SOURCES :
- Construction moderne (ouvrages d'art 2002)
- Bridge Architecture + Design de Chris Van Uffelan

Laura Donnet

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En quoi l'esthétique et la forme des ponts influent-elles sur leur originalité ?

   Depuis la création des ponts, leurs formes et esthétiques ont bien changés. En effet, de nos jours, il y a de plus en plus de ponts originaux.
   Le pont « Webb Bridge » à Melbourne en Australie en est l'exemple pour ses formes incurvées qui forment un tube tortueux metallique.
   Le pont « Brick pit ring » à Sydney en Australie est un pont circulaire piéton rejoignant la terre par deux passerelles. Entourés de vitres multicolores, ce pont joue de la transparence; et les couleurs des vitres, elles, se reflètent dans l'eau créant une atmosphère féérique et poétique.
   Le pont piéton en bois « Drachenbrücke across the gessental » à Ronneburg en Allemegne est caractérisé par sa longueur de 232,5m. Mais, ce qui reste le plus impressionnant est sa forme ondulante portée par des piliers légèrement inclinés.
   Le pont piéton « Bridge Vlaar dingse Vaart » à Vlaardinger au Pays-Bas est entouré d'une espèce de cage d'acier torsadée de couleur rouge qui fait office de sculpture dans le paysage.

Source : Bridge Architecture + Design de Chris Van Uffelen

Coralie Gelin

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Je vais tenter de montrer l'évolution architecturale du pont au cours des siècles afin d'y voir les changements stylistiques.

 Avant toute chose, je crois qu'il est important de débuter par une lecture objective de ce qu'est un pont : d'après le dictionnaire Le Robert, un pont est une construction, un ouvrage reliant deux points séparés par une dépression ou un obstacle. En plus des ponts naturels (tels une falaise taillée par le temps et les intempéries et où de l'eau passe par en dessous), il existe différents types de ponts : les ponts suspendus, à haubans, pivotant, et/ou transbordeurs, mobiles, les pont-levis, les viaducs et aqueducs, les passerelles, les ponts de singe, les ponts en arc ou à piliers...
    Maintenant que nous savons précisément ce qu'est un pont, nous pouvons débuter une recherche proprement dite typologique. Avant la révolution industrielle du XXème siècle, les ponts étaient principalement fonctionnels : ils servaient simplement à franchir un obstacle ou une dépression. Dans Les ponts, histoire et techniques de David Bennett, nous apprenons que les ponts anciens étaient réalisés avec des matériaux naturels comme les lianes, le bois, la pierre... Les romains, grâce à leurs techniques de construction, seront les premiers à ajouter une touche esthétique à ces bâtiments : en utilisant principalement la pierre comme matériau (ainsi qu'un mortier résistant), ils vont réussir à créer des ponts en arc ou à pilier. Ils pourront ainsi construire des bâtiments dépassant alors l'entendement (cf le Pont du Gard), et qui résisteront aux aléas du temps.

Malheureusement pendant plus de 2000ans, il n'y aura plus aucune évolution majeure, l'architecture régressera même à certaines époques. Il faudra attendre la révolution industrielle du XXème siècle pour que les ponts « re-évoluent ». Les échanges commerciaux se développant, on a besoin de relier les différentes villes et différents pays entre eux. De plus, l'industrie fait d'énormes progrès avec la fonte, ce qui permet d'avoir des ponts plus solides, et surtout plus rapides à construire (cf le Pont de Coalbrookdale). Grâce à l'introduction de l'acier dans la construction, l'architecte peut de laisser aller à certaines audaces. Dans un premier temps, avec le mouvement moderniste, la structure va imposer l'architecture ; puis, en plus de cette idée de structure apparente, une nouvelle idée va éclore : celle de faire des constructions esthétiques ! Le pont Eiffel de Budapest* en est un exemple : une structure apparente, mais avec des gravures, des sculptures en métal...

Aujourd'hui, chaque pont est lié à un mouvement architectural et esthétique. Par exemple, le pont d'Edward Ng en Chine répond à un nouveau mouvement lié à des préoccupations écologiques et pratiques. De plus, les pont sont également des marques richesse : en Chine, beaucoup de ponts ont été construits pour impressionner de par leur hauteur, leur longueur ou leur modernisme (cf le Pont de Donghai). Un exemple plus près de chez nous : le Viaduc de Millau, impressionnant par sa longueur et sa hauteur.

Nous pouvons donc conclure par le fait que le pont était, il y a quelques siècles, un objet purement fonctionnel, mais aujourd'hui c'est un objet esthétique et se doit d'avoir un esthétisme. Ce concept est presque plus important que l'idée simple de relier deux points...

Clélia Valin

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Je choisi d’étudier les différences ainsi que les points communs existant entre les ponts, les viaducs, et les aqueducs. J'oriente ma recherche vers le dictionnaire, de manière à découvrir les définitions précises de chacun, et d'un tirer ensuite des conclusions quant à leurs points communs et différents.

Dans un premier temps, je choisie de déterminer ce que ces trois infrastructures ont en communs :

Il semblerait qu'elles aient pour but toutes les trois, de relier deux points séparés, de manière aérienne. A leurs origines, elles ont été crées afin de permettre aux populations de traverser, de franchir un obstacle. Puis leur fonction s'est développée : faire traverser des animaux, marchandises, de l'eau etc. Une dimension esthétique à également vue le jour.

Ce qui différencie le pont d'un viaduc est simplement l'obstacle qu'il traverse. En effet, le pont passe au dessus d'une voie d'eau, d'un canal d'une route, ou d'une voir ferrée. Tandis que le viaduc lui traverse une vallée entière. Dans un second temps il est question de ce qui franchit l'obstacle : Dans le cas de l'aqueduc, c'est de l'eau, un canal, alors que le pont, ainsi que le viaduc permette la transfert de population par voie ferrée pour le viaduc, et pas voie routière pour le pont.

Il est évident que c'est le point qui a été inventé en premier, sa construction remonte effectivement à plusieurs millénaires avec Jésus Christ. A contrario, l'aqueduc remonte au temps des romains, et le viaduc lui, demeure le plus récent.

Adèle  LMR

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